jeudi 17 octobre 2013

Les courses de dromadaires

Après une soirée sur le site de Katara avec des pseudos marionnettes et un véritable feu d'artifice, nous reprenons la route. Celle du nord-ouest cette fois-ci, celle qui se dirige vers Dukhan, la ville du pétrole, qui a permis au Qatar de se développer dans les années 80' et 90'. Dans les années 2000,  c'est l'exploitation du gaz qui a permis l'explosion tout azimut que connait le Qatar aujourd'hui.


Sur cette route, à environ trente kilomètres de Doha, se trouve le camélodrome, lieu authentique de la culture qatari.



Depuis quelques temps les jockeys ont été remplacés par des robots pour éviter les nombreux accidents qui touchaient surtout les jeunes enfants utilisés pour leur poids plumes.






Les courses sont retransmises à la télévision et à chaque départ une foule de 4x4 suivent les dromadaires le long de la route qui jouxte le circuit de 3 km.






La tradition du thé offert





Après la course, nous avons été invités par un jeune propriétaire de chameaux, Khalifa, super fier de nous montrer ses bêtes. Pour un dromadaire de base il faut compter environ 1000 euros, pour un dromadaire de course les prix s'envolent à plus de 200 000 euros !








Sur le chemin du retour nous nous arrêtons au musée de la famille régnante : la famille Al Thani.
Toute l'histoire du pays y est exposée ainsi que la collection de voitures du Cheikh ...




Autour du musée, un enclos d'oryx : l'animal emblème du pays.


Le lendemain c'est repos ...



3 commentaires:

  1. J'avoue que je ne savais même pas que ça existait, les courses de chameaux... impressionnant !
    Bises et bon dimanche.

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  2. Comment s'appelle le journal publié chaque semaine dans le désert?

    L'hebdromadaire.

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  3. Je ne comprends pas où est parti mon message d'hier... bizarre...
    Je ne savais pas que des courses de chameaux étaient organisées, sans équivalent du PMU, par contre, hi hi... Bises et belle journée à vous tous.

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